Pour que la faille soit exploitée, il faut qu’un appareil malveillant se trouve dans un rayon de 30 mètres pour espionner la connexion et intercepter les données échangées. Cela parait donc peu probable. En effet, à ce jour l’organisme en charge de la norme Bluetooth, le Bluetooh Special Interest Group, indique qu’aucune attaque de ce type n’a été répertoriée.
Certains constructeurs ont déjà annoncé la sortie d’un patch pour se protéger.
Voici une raison supplémentaire de mettre ses appareils à jour !